Autour du village, la plupart des champs étaient en labourage ou en herbage et nourrissaient les bêtes. En montant la rue de la Liberté, sur la droite, c'était des petites parcelles allongées regroupées en "delles", aux dénominations issues de la Révolution française. Par exemple, depuis le centre-bourg jusqu'au chemin des Barentins (maintenant, c'est une rue), c'était la Delle de "Derrière les maisons", puis plus haut, la Delle de la Malicorne.

À gauche de la rue de la Liberté, on trouve les delles de la Liberté, de l'Égalité, de la Gronde, puis de la Montagne, du Patriotisme, du Civisme, du Partage, de la Fraternité. Certains de ces noms sont restés aujourd'hui.

Tous ces quartiers sont maintenant construits essentiellement de maisons individuelles et de petits collectifs. Les lotissements sont nés dans les années 1970 à 2000 et accueillaient d'abord des pavillons avec toits à 4 pentes sur des parcelles entre 500 et 1 000 m², par exemple entre les maisons de ville du centre-bourg et la rue des Barentins. Puis la commune s'est étendue de plus en plus vers le nord-ouest et les pavillons se sont généralisés avec toitures 2 pentes et des architectures plus "modernes"

Le château d'eau qui alimente la commune est situé à la jonction avec Cuverville. C'est l'artiste en trompe-l'oeil Paule Adeline qui l'a artistiquement décoré.

Retournons maintenant vers le centre-bourg où nous allons nous intéresser à la rivière qui traverse la commune d'est en ouest sans que l'on s'aperçoive qu'elle coule maintenant sous nos pieds depuis plusieurs décennies. Nous parlons bien sûr de la Gronde.